moi j'avais simplement trouvé un collant en peau de jaguar au magasin chinois et hop je l'avais découpé en short, succès garanti, j'en revenais pas...
En effet, j'ai eu du mal à trouver. J'ai un peu bricolé un costume acheté, mais je n'ai pas été super à l'aise. C'était très, très court ... et on m'a demandé toute la course où était Tarzan. ça changeait du : " mais vous courrez en tong ?" (j'étais en huaraches)
Bonjour, Anatta, Très joli costume ! Je pense que je vais faire comme vous et aller extraire quelques dents à un lion. C'est ça qui fait le chic ! Je réfléchis tout de même un peu... je ne peux pas envisager un marathon (et même un 10 km, c'est tout dire) sans camelbak. Et le camelbak, c'est un peu anachronique sur la peau de bête, à moins de lui faire aussi un joli costume préhistorique.
Ultra-trail d'Oyonnax aka "01XT", 165km, 6000m D+, 2e édition (2019), du 21 au 24 juin. Les points forts de cette course : une souplesse dans le règlement (pas de matos obligatoire [a priori, même si ça peut changer avec une météo dangereuse] ; des relais assez souples, des "pacers" autorisés sur tout le parcours) ; un ravito en bouffe+eau tous les 20 km environ (avec possibilité de relais à chacun des ravitos, réglementairement sans obligation de programmer ces passages de relais à l'avance) ; un directeur de course (Xavier Thévenard) qui sait que le plus important n'est pas la gagne mais la "dose" (comme il le dit !) qu'on se met en courant dans la nature ; pas trop de cailloux ; pas trop de dénivelé pour un ultra ; une altitude pas trop haute ; paysages pas mal du tout pour de la moyenne montagne. Les points faibles : quand même des pentes "ultra"-sévères ; le départ et l'arrivée dans une ville pas très petite (Oyonnax) et donc une grosse chaleur possible aussi. Le parcours : https://ultra01.fr/levenement/parcours-2/ J'ai couru en relais duo avec mon frère Florent, qui a déjà raconté sa course ici : Nos temps de passage : https://www.athlinks.com/event/317727/results/Event/864401/Course/1623516/Bib/2003 Vendredi 21 juin : Florent arriva à Oyonnax vers 16h25, pour un départ à 18h00. Vous me direz qu'il est arrivé en avance. Oui. Sauf qu'il s'en est fallu de peu... car son départ de Picardie était le matin même aux horaires. Départ programmé à 18h00, donc. Florent était forcément bien fatigué de son long trajet en stop. Et aussi de sa semaine de boulot. Moi, j'avais une rhino-laryngite depuis le jeudi midi et ma semaine de boulot n'avait pas été reposante non plus. J'étais aussi venu en stop, mais la veille (le jeudi, donc), et de beaucoup moins loin. Florent et moi nous demandions donc encore à 15h00 qui prendrait le départ de cet ultra-trail. Oui, un gros avantage de cet ultra-trail, c'est de ne pas avoir à fixer l'ordre des relais ; à croire que Xavier Thévenard (le directeur de course) connaît les affres du stop ! Nous envisagions bien la possibilité qu'un autre frère (Sylvain, aussi minimaliste) courût le premier tronçon, mais quand nous fîmes le retrait des dossards, nous apprîmes que les équipes ne pouvaient être que de 2, 4, 6 ou 8. Finalement, il fut décidé que Florent prendrait le départ et ferait les 123 premiers km, et moi les 42 derniers. C'est ce qui était prévu depuis plusieurs semaines, nous nous y tînmes. 18h00, le départ fut donné, et en famille nous vîmes Florent passer (il a déjà raconté sa course sur le forum). Je le retrouvai le lendemain, samedi à 16h40, 6 points de ravitaillement plus loin... soit 123 km plus loin... Le passage de relais se fit donc dans le village de Giron. Florent me dit ne pas aller trop fort dans les montées, de m'y économiser. Au bout d'une minute ou deux de discussion, j'y allai, me disant que j'aimerais bien arriver avant la nuit. Je partis pieds nus, avec les sandales accrochées à la sangle pectorale de mon sac de trail. Cette accroche me permettait d'accéder rapidement à mes sandales en cas de besoin. J'avais des bâtons. Je les avais pris parce que je sais que le relief est beaucoup plus facile lorsqu'on a des bâtons, et surtout quand on est pieds nus ! Même dans les descentes, je m'en sers lorsque c'est très pentu et que je suis pieds nus (pour que cela me serve dans les descentes, je prends des bâtons plus grands que ce qui est conseillé : je prends des 130cm alors que je mesure 171 cm et devrai "logiquement" avoir des 124cm). Et même sur du plat lorsqu'il y a beaucoup de cailloux et que je suis pieds nus. Ce qui s'annonçait pour moi, je n'avais jamais rien fait de tel. Jamais une telle distance. Jamais autant de dénivelé en compétition. Je me sentais bien, alors comme j'avais de l'énergie dans les premiers kilomètres, alors je courus. Y compris dans les portions bitumées en côte. Au bout de 2 ou 3 km, dans la première descente en cailloux, comme j'avais de l'énergie à revendre, je mis mes sandales parce que je me sentais très ralenti en restant pieds nus. Erreur peut-être pour la suite... Qui sait ? Je courus bien sur les chemins qui suivirent, plutôt plats. Je m'étais remis pieds nus, et ça valait mieux car il avait plu quelque peu avant et c'était boueux, et même certaines flaques étaient parfois traversables pieds nus. Là, nous passâmes près du sommet du Crêt de Chalam, et l'évitâmes car une décision avait été prise (environ 2 semaines avant la course) pour épargner un peu ce sommet (qui est en zone "Natura 2000") déjà visité par un trail (le trail de Chalam) le dimanche 23 juin. (J'ai entendu que cela faisait un km en moins et 200m D+ en moins, ce qui ferait un parcours de 41 km et 1220m D+ pour ma partie.) Après quelques bons passages où je me sentais toujours bien, j'arrivai à la Borne au Lion puis je commençai à avoir une descente calme sur bitume où je papotai avec un coureur qui faisait le 165km en solo. Conversation sur les pieds nus et le minimalisme, oui. Cela ne passe pas inaperçu dans l'ultra. D'autant plus que mes sandales (qui ont 15 ans d'âge !!!) sont bien trouées au niveau du milieu du métatarse. Donc, cela interpelle ! Quand je porte mes sandales sur la sangle pectorale de mon sac de trail, alors les gens voient ces trous... Pas longtemps après le début de la côte sur cette même route, mon interlocuteur me dit d'y aller, de continuer ma route à mon rythme. Alors, je recourus sur ce bitume en côte, côte très courte. Encore peut-être une erreur pour la suite... La descente qui suivait me conduisait à la Pesse, mon ravitaillement sur mes 41 km (oui, un km en moins avec le Crêt de Chalam "annulé"). J'y allai d'un bon trot. Des enfant-es qui regardaient la course pendant que leurs parent-es jouaient à la pétanque s'écrièrent : "Ah, il est pieds nus, çui-là !!!!" Au ravito de la Pesse, je ne regardai même pas le chrono (je n'ai plus de montre depuis longtemps) ; quand je kiffe, je ne regarde pas les chronos, en fait, et c'est peut-être cela qui fait que j'ai un peu trop de fougue, pas assez de retenue. Après deux minutes et une bouteille re-remplie et quelques bouts de fruits avalés et quelques grignotages mis dans mon sac, je repartis. Sur le tronçon entre Giron et la Pesse, j'avais chaussé les sandales sur moins de 500m ! Assez fier de moi, et encore assez frais à ce moment-là. Le ravito de la Pesse était 17 km après Giron, si l'on compte un km en moins pour l'annulation du Crêt de Chalam. J'avais parcouru la distance très vite en fait (à peine plus de 2h), trop vite (a posteriori) pour pouvoir' tenir la distance qui me restait pour rejoindre Oyonnax : 24 km, et des très fortes pentes ! En repartant de la Pesse, la forme était toujours là et je sentais que j'avais été rapide (sur mon premier tronçon, même sans avoir une idée précise de l'heure), et un raidillon en montée ne me résista pas. Les choses allaient bien. Puis quand je me rapprochai de Belleydoux (village du dernier lieu de fourniture en eau), j'esu deux descentes successives, dont la première était bien pentue. Dans celle-ci, je doublai un paquet de monde, pieds nus toujours, avec un épais lit de feuilles qui recouvrait des cailloux surprenants ; j'arrivai toutefois à m'adapter aux irrégularités grâce à ce lit de feuilles justement. Je crois que ce fut la première descente de la course où j'utilisai les bâtons : un peu à la manière où un insecte inspecte le terrain de devant avec ses antennes, pouvoir changer mes appuis pieds (selon ce que je sens au sol avec les bâtons), mais aussi pouvoir changer mes appuis bras avec les bâtons (selon ce que mes appuis pieds me donnent comme désagréments). La deuxième descente, qui suivit de pas très loin la première, me fit comprendre que la fatigue commençait à venir. Je ne pus tenir le même rythme de descente que dans la première. Quand j'arrivai dans Belleydoux, il fallait monter le village relativement raide. Je le fis en marchant d'un très bon pas, et finis en trottinant sur les 100 derniers mètres avant le point de fourniture en eau. En effet, le village, malgré une heure déjà avancée (20h25), était tout joyeux de la course, il y avait une ambiance festive et des vivats. Alors, je relançai ! Sur les derniers mètres de cette montée, mes mollets se signalèrent, un peu durs. Pas une crampe, mais une alerte m'invitant à la sagesse. Il me restait 13 km. Je remplis ma poche à eau et me mis à discuter avec 2 coureurs présents en me préparant quand même pour repartir de nouveau. J'aime bien rester dans le mouvement ! Ah ben tiens, dans les 2 gars, il y avait ce gars avec qui nous avions mangé le plateau-repas l'an dernier à l'arrivée. L'an dernier, nous avions en effet bien discuté, et voici que nous nous retrouvions ! Alors, nous décidâmes de repartir ensemble : en marchant, donc, puisque c'était leur rythme. Lui était sur le 165km solo (il avait donc beaucoup plus de km que moi dans les jambes) ; Samuel (l'autre gars) était sur le 84km solo et avait mal au pied gauche. Nous marchâmes pourtant d'un pas vif (5 km/h) sur les 5 premiers kilomètres de ce final. Donc, une heure ! Le soleil déclinait, il devait donc être 21h30 (grosso modo) et il restait encore 8 km ; à ce moment-là, je ne savais pas encore la distance exacte qu'il restait. Et surtout, je n'avais pas une idée assez précise des sacrées difficultés qu'il nous restait. Si l'on regarde les PDF des deux parcours (165km et 84km) au lien donné en intro de mon billet, alors on se rend compte que les profils de parcours sont tracés de manière très approximative, car les 2 "profils" ne se ressemblent pas vraiment en tout point ! Cela faisait quelques hectomètres que le chemin était plat, large et très caillouteux ("chemin blanc, indiqué comme carrossable sur les cartes IGN, carrossable parce que des gros cailloux permettent aux 4x4 d'y passer, hein... mais c'est plus ardu pour les pieds nus), et nous nous faisions doubler par quelques personnes qui étaient au trot. Je décidai de mettre mes sandales pour ne pas trop souffrir sur ce trop long "chemin blanc", et surtout pouvoir trottiner. Une fois les sandales passées aux pieds (c'était seulement la 4e fois en sandales dans mon parcours, à seulement 8 km de l'arrivée, et j'avais fait moins de 1,5 km en sandales jusque là), je rattrapai mes 2 collègues des 5 kilomètres passés et leur dis que j'avais envie de rattraper un des 2 "trains" qui venaient de nous doubler au trot ; je m'en sentais encore capable, je n'avais fait que marcher sur 5 km, surtout pour discuter avec les autres et partager du temps et de la "route" ensemble. En les quittant, je leur lançai la boutade : "me voici en plein dans le mur du K35." Comprendre : le fameux mur du 35e kilomètre pour les personnes qui pratiquent le marathon à des vitesses "indécentes". Cela recommençait à monter et je commençai par rattraper assez vite une personne qui nous avait doublés peu auparavant. Le couple qui nous avait doublés juste avant ce solitaire, j'essayais de le rattraper, mais je n'y arrivai jamais. La fin de course était proche en kilomètres et il restait surtout de la descente. Maintenant, si l'on regarde le profil du parcours, il me restait encore 2 énormes "murs", bien verticaux, à monter. Plus de 75 mètres de dénivelée à chaque fois, en une distance ultra-courte : en moins de 400m, à chaque fois. Cela montait tellement que je me décidai à enlever mes sandales car je savais que je n'allais faire que marcher dans ces montées. On était alors en pleine forêt, à 7 km du centre d'Oyonnax et donc assez loin de tout. Cela monte tellement que les humains y ont enfoncé des traverses de bois (de section rectangulaire) : soit pour faire des marches classiques, soit en parallèle du chemin serpentant fortement afin de prévenir toute érosion et de prévenir ainsi tout dévers trop important. Je buttai contre quelques cailloux et dis "aïe" plusieurs fois. La luminosité était entre chien et loup, sous ces arbres. J'avais fait le choix de ne pas allumer ma frontale pour voir aussi bien partout. Mon gros orteil du pied droit butta alors contre un gros caillou et je criai "aïe" une fois de plus et me remis à marcher (après 2 secondes d'arrêt, à vérifier que cela ne saignait pas). Quelque cinquante mètres plus loin, c'est le le gros orteil du pied gauche qui butta contre un gros caillou. Je continuai à marcher. Arrivé aux deux tiers de cette première côte, je m'arrêtai un peu parce que j'étais fatigué mais aussi parce que mes deux gros orteils me signalaient un peu de douleur. J'inspectai le gauche, que je n'avais pas encore regardé : aïe, ça saignait un peu. Je décidai de m'asseoir, afin de reprendre mon souffle et de m'appeler à la prudence pour le reste de la course. Je remis les sandales et repartis en marchant dans cette dure côte. La descente qui suivit était courte, mais raide. J'allumai la frontale, ne voulant pas souffrir plus d'un énième caillou mal vu. Je sentis que je ne pouvais pas vraiment lâcher les chevaux dans cette descente, je savais que ma forme me lâchait. Puis rebelote avec le deuxième mur vertical. Les voilà, les deux fameux murs du 35e !!! Dans le deuxième mur, je pensai à la fin de la course, et je ne pensai alors pas que ce serait aussi long. Une fois passé le deuxième mur, commencèrent 3 kilomètres de descente dans le noir et avec plus ou moins de cailloux. Je pris beaucoup de temps. Très vite, je m'arrêtai de trottiner pour ne faire plus que marcher tant je savais que cela allait être dur. Je tenais deux bâtons dans mes mains, mais j'en avais deux autres à la place des jambes !!! Tout raide. Et mal sur le bas de mes tibias, et en haut de mes chevilles, et derrière mes genoux. Surtout à la jambe gauche ! Quand j'arrivai à 100m de la fin de cette trop longue descente pour moi, mes deux frères m'attendaient pour la fin de la course. La descente n'était pas tout à fait finie après ces 100m, mais j'étais maintenant en ville, et il n'y avait plus de cailloux (et la pente aussi était moins raide). Je pense avoir mis une heure à faire ces 3 kilomètres de descente. Les deux côtes qui avaient précédé avait aussi pris du temps, bref la fin de la course ne m'était pas facile. J'étais parti trop vite sur le terrain "facile" de mon début de parcours. Avec mes frères, je marchais d'un pas que j'essayai rapide sur la fin de la pente bitumée. Je ne me sentais pas de courir dans une pente. Quand nous arrivâmes sur du faux-plat descendant, je voulus bien trottiner. Je traversai la fête d'Oyonnax avec des gens encore moins lucides que moi : des personnes attirées par la grosse musique et les lumières de la fête, et notre parcours passait empruntait une rue commune avec cette fête. Pas facile d'écouter quand on te dit "Suivez la rubalise" et que des gens traversent devant toi sans vraiment comprendre qu'il y en a d'autres qui vont à plus 5 km/h./ J'arrivai fatigué mais satisfait de l'accomplissement, vers 23h30. Nous mangeâmes de nouveau avec le gars avec qui nous avions partagé le repas en 2018. Quand nous quittâmes le stade pour aller à la voiture qui se trouvait sur le parking, j'avais les jambes impliables !!! 6h53 pour environ 41 km et environ 1220m D+, avec une première portion beaucoup trop rapide. Beaucoup d'apprentissage dans ces erreurs. Et surtout, fierté plutôt bonne sur le point suivant : j'ai été pieds nus sur 33 ou 35 kilomètres environ. Le lendemain, idem pour les jambes impliables. J'eus du mal à rentrer chez moi en stop. Je marchais avec mes bâtons, à 2 km/h !!! Le lundi matin, j'allai au boulot avec mes bâtons, à 600m de chez moi. Et j'avais du mal à monter ou descendre les escaliers. Du 2 km/h encore, dans la côte qui mène à la ferme. Le problème fut en fromagerie : on ne s'assoit jamais, et on piétine dans 20 mètres carrés. Le mardi soir, je pouvais de nouveau marcher à 5 km/h, et ce sans bâtons. Le mardi, j'étais retourné en fromagerie, mais à vélo depuis chez moi jusqu'à la ferme afin de préserver mes jambes. Le mercredi soir, je fis 150m en trottinant pour rentrer chez moi ; je n'avais pas bossé en fromagerie ce mercredi. Le problème quand je ne suis pas en fromagerie, c'est que je suis souvent en cuisine. On est debout aussi, et on piétine pas mal. Le jeudi soir, je partis au lac voisin à pied, à 5 km, en courant. Le corps est une incroyable machine ! Je ne réitérai toutefois pas beaucoup cette bougeotte du jeudi soir (c'était pour rejoindre mes collègues au lac). La seule douleur qui me resta jusqu'à ce mercredi 11 juillet au moins et que je ne ressens plus depuis ce 13 juillet, ce fut le gros orteil droit (qui n'avait pas saigné mais qui était peut-être victime d'une contusion). Depuis le jeudi soir qui était J+5, je n'ai couru finalement que sur mes trajets quotidiens, entre chez moi et le boulot (ou entre chez moi et le lac). Séquelles temporaires : un caillou (lors du 1er "mur vertical") au gros orteil droit me laissa un bleu que je ressentis en fait assez peu pendant la course mais plus lorsque le corps était déjà très avancé dans la phase de récup (à J+4) ; un caillou qui m'a ouvert (lors du 1er "mur vertical" aussi) le côté du gros orteil gauche (et a donc fait entrer de la boue et de la terre sous la peau, mais pas trop de douleurs lors de la course, et peu dans les jours qui ont suivi (seulement en enfilant des chaussettes : soit pour mettre des chaussures qui me soulageaient mes articulations douloureuses, soit pour aller travailler en fromagerie) ; une raideur à l'arrière du genou gauche ; une raideur sur le haut de la cheville gauche. Et voilà, à J+4, je pouvais trottiner de nouveau, mais je me gardais bien de trop le faire ! Patience, pour repartir bientôt !
Je viens de m'inscrire au marathon de Camargue, fin septembre. J'avais dans l'idée de faire le 100 km, mais après 3 mois d'entraînement je ne vois pas comment je pourrais tenir la distance, donc je me rabats sur le 42. Vous me direz qu'en 2015 et 2016 j'ai déjà pris le départ du 100 km, mais c'était en mode "j'irai jusqu'où je pourrai aller" et j'avais abandonné au 3e ravito, après 36/37 km. Là, j'ai envie de voir la ligne d'arrivée donc j'ai choisi une distance raisonnable. Et pour le 100 km, on verra l'année prochaine si j'arrive à maintenir un rythme d'entraînement pendant l'hiver. Des amateurs pour m'accompagner ?
Salut Lambda, Sans moi, mais bon courage! L'épreuve a l'air chouette en tout cas, hâte de lire ton CR. .cmp!
Moi aussi cette course m’intéresse ! Comme à chaque fois, l’été n’est pas propice à maintenir mes sorties d’entraînements habituelles. Plus les jours passent plus la possibilité de faire le grand raid s’éloigne ! Du coup le marathon me tente fortement. Au niveau de l’organisation tu pensais faire comment ? Édit : bon finalement je suis inscrit sur le marathon aussi ! J’irai directement à l’arrivée et prendrais la navette pour aller au départ.
Un collègue de bureau doit s'inscrire sur le 100. On devrait faire la route vendredi soir et dormir à Aigues-Mortes, puis prendre la navette (lui à 5h30, moi à 10h30). Et le samedi soir on mangera le repas bio à l'arrivée.
j'ai parlé avec les autres lors des brasses d'une course que je fais tous les ans dans la vallée de Chevreuse (à Chevreuse): La Route des 4 Châteaux La course est très demandé et affiche déjà complet : ( Promis l'année prochaine je prépare un thread a l'avance pour les gens intéressés ! Le site de la course: https://www.route4chateaux.com/accueil-r4c/
Dans le groupe courir pieds nus sur strava (groupe créé par Christian), Mathieu Bouquet (dont on parlait dans je ne sais plus quel thread) informe qu'il y a bientôt cette course initiation qui à l'air sympa, et que je ne connaissais pas : Plus d'infos ici : https://www.facebook.com/events/485009125668270/ Dommage que ce soit si loin géographiquement pour moi.
C'est sympa, je l'ai faite en 2012, mais c'est le lendemain de l'ultraboucle de la Sarra. Donc il faut choisir, ce sera dur de faire les deux. Je vais faire mon normand : les deux me tentent. Edit : côté tarif l'UBS est plus intéressante. D'un côté 30 € pour 6 heures (j'ai couru 34 km en 2015, soit 0,88 €/km) De l'autre 39 € pour 23,7 km soit 1,65 €/km
Elle est superbe cette sortie au Mont Saint Michel pour l'avoir fait ce 20 juillet, c'est l'occasion d'initier des copains débutant en barefoot (qui peuvent au moins tenir 16km à 10km/h) , l'environnement est top et peu de risque de blessures (l'effet vase + eau très protectrice). Effectivement @iDocky Doc vous donnera plus de détails, je le préviens de venir faire un tour dans cette discussion
Hello, voici une capture vidéo en slow motion de la dernière sortie au Mont Saint Michel ce 20 juillet 2019 lien de l'évênement : https://www.facebook.com/events/485009125668270/ A la Découverte de la Foulée Naturelle: https://www.facebook.com/groups/2515790001770523/
Coucou. De mon côté (sud de l'Oise), je viens de m'inscrire au Trail de Senlis, très sympathique pour l'avoir fait l'an dernier, peu de côtes, chemins forestiers pour l'essentiel, quelques racines et bogues de châtaignes pour rajouter un peu de piquant, et c'est sans ravito, sauf à l'arrivée. Il y a un 14km et un 29km et c'est le 1er décembre. Au plaisir